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Découvrir son principe énergétique 

Hippocrate, médecin de l’antiquité grecque, considéré comme le père de la médecine aimait à rappeler qu’il tenait « en haute estime ceux qui, génération après génération, me succéderaient et dont tous les travaux contribueront au développement de l’art naturel de guérir. »

Sylvie LAVALOU, réflexologue en énergétique chinoise, fait donc partie de cette génération chère à Hippocrate, de professionnels pratiquant cet art de la thérapeutique manuelle. 

Avec Sylvie, notre première rencontre s’effectua avec un téléphone sans fil fonctionnant  
    - Grâce à un émetteur-récepteur,
    - Grâce à des ondes, à des fréquences vibratoires
    - Donc grâce à de l’énergie… 

Un bon début pour débuter une conférence sur la thématique de l’énergie. A ma demande d’animer une conférence, Sylvie m’a tout de suite dit un grand oui ce qui m’a confirmé que nous étions bien sur la bonne fréquence….
Il existe des rencontres dans la vie, des coups du hasard, qui n’ont finalement rien du hasard ! 
Selon moi, cela relève bien d’une histoire d’énergie, BREF…. De mêmes longueurs d’ondes, d’une bonne fréquence vibratoire ! 

L’objet de cette conférence était d’amener le public à comprendre leur corps dans une approche holistique, c’est-à-dire non pas uniquement percevoir leur corps uniquement fait de matière physique, cellulaire, biologique mais aussi de le voir comme un corps fait d’ondes et d’énergie.

Avec son bagage d’ingénieur en mécanique, Sylvie, a amené tous les participants, avec des mots simples à comprendre ce que l’on entendait par corps énergétique en se basant tout aussi bien sur des expériences scientifiques issues de la physique quantique que sur les pratiques de nos ancêtres. 
Hippocrate, soit rassuré, la boucle est bouclée !

Lors de la soirée, Sylvie a rappelé qu’il est essentiel, en cas de malaise ou maladie, de soigner son corps physique tout autant que les déséquilibres énergétiques, de manière à renforcer la vitalité de tous nos corps physique, émotionnel, mental et spirituel.

  • Un grand merci Sylvie pour la simplicité de tes explications, pour l’énergie douce que tu as diffusée subtilement autour de toi !
  • Un grand merci au public, toujours nombreux, captivé et participatif et pour l’intérêt que vous portez aux conférences !
  • Un grand merci à tous ceux qui m’aident de près, de loin à faire que le concept MINUTE PAPILLON prenne de l’ampleur et que chaque battement d’aile engendre un supplément d’âme et de mieux être ! 

Réseaux

Des mots, des idées, des écrits

par Nathalie Bedel 07 nov., 2024
Q ui n’a jamais eu envie de tout envoyer valdinguer, de tout changer ? Tout le monde y pense, un jour ou l’autre mais de là à passer le cap, c’est autre chose ! « Conduire le changement » était le thème de la conférence proposée et animée hier soir par Carole Landelle, consultante et formatrice, dans le cadre du cycle de conférence Minute Papillon. Tout d’abord, Carole a insisté sur l’importance de différencier celles et ceux qui veulent changer et celles et ceux qui veulent que cela change. Nous pensons souvent à tort que le changement doit venir de l’extérieur. Comment se fait-t-il que nous ayons tant de difficulté à passer à l’acte ? Serait-ce dû uniquement à un manque de volonté, de courage ? Carole nous rassure de suite ! Si les obstacles aux changements sont multifactoriels, nous avons cependant tous un point commun : La survie. Avant tout changement, nous cherchons à assurer notre survie et notre sécurité et notre système neuronal s’active dans ce sens ! Le changement vient perturber ce besoin vital. Carole nous rappelle ensuite que le changement est lié au plaisir et à la fameuse dopamine. Dans tout ce que nous entreprenons, nous recherchons le plaisir. Là où le bât blesse, c’est que nous en voulons immédiatement ce qui ne facilite pas le passage à l’acte surtout si nous devons fournir des efforts. Imaginez, un cadeau de suite ou deux cadeaux dans 6 mois, avouez que nous hésitons. Dans tout ce que nous entreprenons, le cerveau produit la motivation en fonction d’un calcul de coût et de bénéfice de ce qu’il entreprend. Pour aller vers un changement pérenne, Carole termine la conférence en proposant quelques leviers comme la sécurité, le sens, ….. Un grand merci Carole pour la qualité de ton propos et ton professionnalisme. Avec simplicité, tu as su captiver le public (hop de la dopamine) Un grand merci à l’ensemble des participants. C’est grâce à vous que les conférences Minute Papillon existent (hop un peu de sérotonine) Un grand merci à Sophie, pour toute l’aide apportée dans le déroulement de la soirée (hop, une dose d'ocytocine) BY Nathalie with love
Mais enfin, lâche prise, lâche donc prise...

- Ah oui et je fais comment ?… si je lâche, je ne vois
par Nathalie Bedel 01 avr., 2024
Mais enfin, lâche prise, lâche donc prise... - Ah oui et je fais comment ?… si je lâche, je ne vois que du vide autour de moi ! - Mais non tu ne crains rien... je suis là. - Ah bon ? Alors peux-tu me dire pourquoi partout autour de moi, on ne parle que maîtrise, contrôle, c’est paradoxal…Et puis, c’est bien joli mais je fais comment ?
« étudier l'influence d’un lieu sur le règne vivant » (plantes, animaux, humains), une activité qui
par Nathalie Bedel 28 mars, 2024
« C’est une triste chose de penser que la nature parle et que le genre humain n’écoute pas ». Victor Hugo. La géobiologie « étudie l'influence d’un lieu sur le règne vivant » (plantes, animaux, humains), une activité qui vient en complémentarité de certaines médecines naturelles. En étudiant l’impact des courants, des champs électriques, magnétiques, cela permet de comprendre l’influence que peuvent avoir toutes ces ondes sur nos habitats et par conséquent sur nous-mêmes et de proposer un panel de solutions allant de techniques simples à certaines plus complexes
par Nathalie Bedel 04 déc., 2023
Face aux petits et grands problèmes rencontrés par les personnes que j’accompagne, la question qui me revient de manière récurrente est « comment je fais » sous-entendu, « c’est bien joli tout ce que tu me racontes mais concrètement je fais comment ?» Idéalement, il me serait confortable, pour caresser la personne dans le sens du poil, de revêtir ma cape de Zorro, de dégainer mon épée magique du « Yakafaukon » en redorant, au passage, mon masque de sauveuse…. Et c’est là que le bât blesse ! Lorsque j’objecte que je n’ai pas de réponse « en kit » à ce que la personne me demande car elle seule sait, elle seule a les réponses. Je lui propose simplement d’être, d’agir pour ce qu’elle veut et de se mettre en conformité avec qui elle est. Mon rôle est d’être à ses côtés, de l’accompagner et de lui tenir la main le temps qu’il lui sera nécessaire. J’ai bien conscience, qu’à cet instant, ce n’est vraiment pas ce que la personne a envie d’entendre et qu’à cet instant, je suis loin de la complaisance ! En effet, lorsque l’on est face à une difficulté, naturellement la tentation est grande de la transformer en Everest infranchissable et insurmontable. Cette attitude permet, de manière subtile de : Rester assis au pied de l’obstacle, sans bouger, en se trouvant de bonnes excuses Partir en courant en élaborant des stratagèmes d’évitement voire du « sauve qui peut » De s’en prendre à la montagne en l’accablant de tous les maux L’être est ainsi fait, capable de trouver des petits arrangements avec lui-même, de s’automutiler, d’entretenir ses souffrances familières plutôt que de s’ouvrir à quelque chose de nouveau, d’inhabituel, d’incertain mais aussi de terrifiant ! Il devient alors difficile de claquer le bec à son Caliméro intérieur, son « âme en peine » qui se donne à cœur joie de lui tournebouler les neurones en une pelote de laine bien compacte. C’est la raison pour laquelle, je continue et persiste à proposer à toute personne en demande de « solutions toutes faites » de changer leur « faire » en « Être », afin que progressivement, elle puisse : Être qui elle est en cessant de vouloir être ce qu’elle n’est pas Exprimer clairement ce qu’elle veut Agir à sa guise, en fonction de ses besoins Oser, se lancer, essayer, tester, éprouver, à son rythme Se mettre en mouvement par un premier pas, un tout petit pas, mais un pas Choisir non pas «la bonne ou meilleure solution » mais une option en acceptant les conséquences de son choix Décider par elle-même S’engager pleinement en ne s’attachant pas au résultat Exprimer qui elle est et changer son Everest en colline verdoyante. Ce n’est qu’à ce titre que l’accompagnement, cet « aller avec la personne » prend tout son sens
par Nathalie Bedel 06 nov., 2023
C haque homme a à cœur d’être en paix ! Un Éden tant désiré où tout est beau, doux et harmonieux. Cependant cet Éden ne pourra être atteint qu’en suivant un chemin parfois tortueux et périlleux pour : TROUVER LA PAIX. Dans le tumulte de son quotidien, happé par ses difficultés et contradictions, l’homme devra d’abord tourner son regard non pas à l’extérieur mais à l’intérieur pour prendre conscience d'une guerre personnelle à laquelle il se livre régulièrement et inconsciemment avec lui-même pour décider : FAIRE LA PAIX. Avec lui-même, avant de la faire avec les autres. Cela lui demandera de se confronter à l'ensemble de ses pensées et croyances limitantes qui lui induisent un comportement et état d'esprit néfastes pour lui-même. Cela supposera de s'observer sans critique ni jugement, puis de poser des actes pour apprendre à modifier ses schémas de pensées pour AVOIR LA PAIX . Ce n'est pas seulement une question de réflexion, il s'agit d'un choix. Pour ce faire, il devra s'engager, créer un terrain d’entente, trouver des accords et solutions, prix d’une paix progressive à ressentir et vivre qui lui permettra enfin D'ETRE EN PAIX. En accueillant l’intégralité de sa personne avec ses singularités, ses défauts, ses failles et s’accepter ainsi avec bienveillance. A ce stade seulement, il pourra de nouveau s’aimer, rendre grâce pour toute sa personne avec infiniment de compassion et ETRE ENFIN EN PAIX avec lui-même Alors, il pourra FICHER LA PAIX aux autres en acceptant leurs différences comme une richesse et non plus comme des dangers potentiels ! BY Nathalie with love
par Nathalie Bedel 25 sept., 2023
J e te regarde, je regarde ta peinture, je te regarde… Je t’observe comme je le ferais d’une œuvre d’art : je fais une première lecture rapide, je cherche des indices, des détails puis je me laisse bercer par une impression, des ressentis pour tenter de déchiffrer l’indéchiffrable… Est-ce que, comme ce tableau, je me contente de te voir comme je t’ai toujours vu ou est-ce que, au contraire, j’entrevois un autre toi ? Alors, plus rien ne ressemble à rien, ma vue, mes pensées, mes sentiments se brouillent. Sur le mur, tout me semble à la fois sombre, cru, talé et évanescent… Je remarque la matière brute avec ce qu’elle a de plus profond, de plus abrupt, de plus sauvage comme si tout avait été décapé pour ne laisser apparaitre que l’essence même des éléments dans leurs plus simples appareils. Au-dessus de cette noirceur, flotte un firmament, un halo de lumière mystérieux, insaisissable, qui m’amène à penser, que quelque chose de plus fort que tout, résiste, persiste. Je te regarde, je regarde ta peinture, je te regarde…. Est-ce le reflet de ton âme que tu donnes à voir ? Comme une histoire décalée, provisoirement en pointillé, laissant des espaces entre deux comme le tiret coincé entre peut et être, un lien indéfini mais présent ! Un temps de repli nécessaire entre un avant, un après et cependant gage d’une continuité future. Tout se ressemble, cette peinture, toi… ce petit pas de deux, ce pas de retrait, qui me laisse espérer que tout reste, étroitement lié entre le visible et l’invisible, le tangible et l’intangible, entre le connu et l’inconnu entre l’obscurité et la lumière Finalement, rien ne m’oblige à choisir entre tous ces contraires, ou entre toi avant, toi maintenant, après…. seulement me laisser porter par ce qui est, par ce que je ressens sans autre forme de discernement. BY Nathalie with love
par Nathalie Bedel 08 sept., 2023
En tombant nez à nez avec cette phrase, je m’interroge… . Bien sûr que je suis en vie, je n’ai pas besoin de me pincer pour cela mais suis-je vraiment vivante ou suis-je juste en vie ? Le meilleur moyen de le savoir est de m’observer un petit moment… 7H, le réveil sonne, une tape dessus et je saute du lit… 15mn plus tard, encore ensommeillée, je suis devant mon petit dej, la radio en fond sonore, le portable près de ma tartine, connectée aux potins du matin 30mn plus tard, propre comme un sou neuf, apprêtée, je claque la porte direction le boulot au petit trot…. Stop… je confirme, physiologiquement, je suis bien en vie… mes fonctions vitales tournent à plein régime. SPEED, SPEED,SPEED…. Dans ce tourbillon matinal, suis-je pour autant vivante ? Et là je flippe… Je prends conscience de mon inconscience… Tel un pantin, une machine bien huilée j’accomplis des gestes avec une précision d’horloger…mais vide de sens, absente, presque désincarnée, déshumanisée (je ne me souviens ni des info, ni du goût de la confiture, ni du bienfait de l’eau sur mon corps…) Et là comme une bulle qui éclate « être vivante » fait tout à coup sens en moi… Etre vivante, c’est être pleinement là, attentive, présente Etre vivante, c’est être humaine, animée, éveillée, incarnée Mais surtout être vivante, c’est me souvenir tous les matins que ma vie tient du prodige, de l’exceptionnel à la limite du miracle, une chose étonnante ma foi ! Il est alors vraiment dommage de n’être simplement qu’en vie ! Bonne rentrée BY Nathalie with love
par Nathalie Bedel 20 juil., 2023
Pause... St o p à la « Do it list » de l’été : Les régimes, les cures détox, les travaux, bref tous les trucs et bidules parfaitement inutiles et qui nous semblent tellement rigoureusement indispensables ! Pour cet été, l’idée justement, c’est de ne rien s’imposer, de se laisser porter, guider, entrainer… et ainsi goûter aux petits bonheurs simples qui embellissent la vie comme : Lézarder sur un transat en sirotant un verre, Musarder, flâner le nez au vent le long des chemins Somnoler sur une plage de sable chaud Rêvasser en regardant la course des nuages S’éclater, rigoler, partager du temps avec les proches Pour cela, appuyez sur votre touche….. chut, silence…. Respirez, regardez, écoutez, appréciez ! N’attendez pas demain! Demain sera un autre jour, demain sera peut être trop tard ! Demain ne sera peut être plus ! C’est maintenant… Appuyez, c'est l'été ! By Nathalie with love
par Nathalie Bedel 21 juin, 2023
« N’oubliez pas » N’oubliez pas d’aimer la vie, N’oubliez pas d’aimer tous ceux qui vous entourent, N’oubliez pas de faire le bien et le beau autour de vous, N’oubliez pas de respirer, vous êtes en vie ! Prenez le temps de sentir, de ressentir… Car tous, aussi pressés que vous êtes, Toujours à courir, à accélérer pour rester dans la course du temps, N’oubliez pas que vous êtes mortels ! N’oubliez pas que tout a une fin, une limite C’est ce qui donne autant de saveur Alors ne vous perdez pas en futilités, en 3 fois rien, en broutille si inutiles… Car la mort viendra vous cueillir comme tout un chacun… Mais avant cela, Ouvrez grand les yeux, N’oubliez pas d’aimer la vie, N’oubliez pas d’aimer tous ceux qui vous entourent, N’oubliez pas de faire le bien et le beau, Et surtout dites-le avant qu’il ne soit trop tard ! By Nathalie with love
21 juin, 2023
L’incompréhension survient au moment où nous nous y attendons le moins ! Jusqu’alors, tout va pour le mieux, nous nous sentons en confiance, tout semble a priori sous contrôle, puis soudain, au détour d’une conversation, d’un événement fortuit, d’une souffrance, l’incompréhension nous gagne et tout bascule. Surpris, parfois même abasourdis, nous activons aussitôt notre bon « Cogito, ergo sum », nous nous dépêchons de puiser dans nos pensées, nos savoirs, pour trouver une explication rationnelle comme nous l’a enseigné ce cher Descartes ! A grand renfort d’analyse, nous nous échinons tant bien que mal à chercher le pourquoi du comment ! Et dans ce charivari, notre cerveau tente d’élaborer de grandes théories pour parer la chute tandis que notre cœur, lui, a déjà dévissé depuis belle lurette…. Est-il toujours nécessaire de vouloir tout comprendre, d’essayer de déchiffre coûte que coûte ? • Ne serait-il pas plus utile de laisser l’incompréhension faire son job, lui donner du temps, de l’espace et reconnaitre que parfois, des éléments nous échappent (le sens d’une parole, la vision du monde de l’autre, un paramètre intérieur ou extérieur…) qui rendent la compréhension mentale difficile ! • Ne serait-il pas plus utile de nous focaliser sur notre cœur, qui lui, se passe de justification et de raison…. BY Nathalie with ♥️
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